dimanche 11 janvier 2009

En convoi au Tchad

Le train dans les opérations de débarquement maritime


OPS - Baliste Débarquement à Naqourah - 19 janvier 2008

Armée de terre: Le soutien

Porte Ouverte 516° RT Toul en 2008

La logistique dans les départs en mission - Convoi militaire

Le surnom de tringlot

"La tringle", mousqueton de cavalerie de 17,1 mm modèle 1816 à 1822, arme type du Premier Empire particulièrement adapté aux trains des équipages, a donner un surnom aux charretiers transformés en soldats, les tringlots.


Il s'agit d'un mousqueton doté sur sa face interne d'une tige métallique, la tringle, courant le long de la crosse et du canon. Cette tringle coulisse dans deux anneaux fixés à la bandoulière, permettant au soldat de porter le mousqueton la crosse en l'air et de s’en saisir rapidement sans lâcher les rênes.

Le général Bugeaud déclarera même : "C'est le fantassin et le tringlot, avec ses mulets, qui ont conquis l'Algérie en 1836".


Description et historique de l'arme : içi

Musée du train et des équipages militaires (37)

Le musée du train et des équipages militaires est installé dans la caserne militaire de Beaumont, au pavillon de Condé, à Tours. Il retrace l'histoire de l'Arme du Train de sa création en 1807 à nos jours. Ce conservatoire de traditions a été inauguré le 17 mai 1980 par le général Dessendre.

Vue du quartier de Beaumont

Le pavillon de Condé, ancien logis abbatial, restauré entre 1956 et 1961, constitue un témoignage de la vitalité de l'abbaye Sainte-Marie-de-Beaumont, nom porté par une des dernières abbesses, petite-fille de Louis XIV. Le pavillon est classé à l'inventaire des Monuments Historiques.

La scénographie, s'articule autour des grandes périodes de l'histoire contemporaine : le Premier Empire, la Restauration, le Second Empire et la guerre de 1870, la guerre 1914-1918 et la Seconde Guerre mondiale, la guerre d'Indochine et la guerre d'Algérie.


Les collections présentées proviennent de militaires, de passionnés, ou sont entrées à la suite de dissolutions d'unités du Train. Onze salles réparties sur deux étages en présentent la richesse et la diversité. Trois salles annexes présentent une collection d'insignes, de calots, de matériels hippomobiles et d'uniformes.

Parmi les collections d'armes, "la tringle", arme type du Premier Empire pour l'Arme du Train, donnera un surnom aux soldats, les tringlots.

"la tringle"

Une autre arme a rejoint l'histoire : le fusil d'apparat d'Algérie, où il était utilisé comme emblème par les cheiks lors des tournois équestres. Ces fusils, plaqués argent et incrustés de coraux et d'ivoire, ont équipé la compagnie chargée du ravitaillement de Verdun par la Voie Sacrée, lors de la Première Guerre mondiale.

La salle consacrée au Second Empire témoigne du goût pour l'apparat de Napoléon III : des uniformes riches en couleurs voisinent avec l'uniforme de la garde impériale, le dolman, vêtement de couleur grise, dont la texture, crin de cheval et laine, est destinée à protéger des coups de sabre mal portés.



Un dernier espace d'exposition, celui "des grands anciens", rend hommage aux premiers officiers supérieurs et aux généraux de l'histoire du Train du début du XXe siècle, tel le général Arboux.

Le centre Doumenc, en face du musée, dans le quartier Chauveau, abrite une quarantaine de véhicules militaires : camions, automobiles, motocyclettes. Il a été inauguré en 1985 par le général Carbonneaux.

L'association AMET se charge de faire vivre ces lieux.

Renseignements pratiques :
Ecole de la Logistique et du Train60, rue du Plat-d'Etain
Quartier Beaumont
37000 Tours
ou : BP 3425 - 37034 Tours cedex 1
Tél.: 02.47.77.33.07Fax : 02.47.77.34.75
Horaires
Du lundi au jeudi, de 10h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h30
Le vendredi, de 10h00 à 12h00 et de 13h30 à 16h00
Fermé le samedi et le dimanche ainsi que les jours fériés
Visites guidée sur rendez-vous de 14h00 à 17h30
Entrée libre

mercredi 7 janvier 2009

Train des équipages de la Garde

L'acronyme Train (T.R.A.I.N.) signifie "Transport et Ravitaillement de l'Armée Impériale de Napoléon".

L'arme est relativement récente dans l'histoire militaire de la France. Son créateur est Napoléon Ier qui, alors campé en Prusse orientale, décide de mettre en place, le 26 mars 1807, un Train des Equipages militaires, une unité de soldats se déplaçant en chariots tirés par des chevaux.

C' est en 1811 que fut organisé de manière cohérente le Train des Equipages de la Garde ( qu' on ne confondra pas avec le Train d' Artillerie ou du Génie de la Garde)





Cette unité dont le QG ses dépots et ateliers sont à Vincennes, doit servir tous les moyens de transports des unités de la Garde ( à part les materiels de l' Artillerie et du Génie) qui au paravant se débrouillaient chacune pour déplacer leurs caissons avec des personnels régimentaires.


En 1811, le bataillon du Train des Equipages de la Garde compte 17 officiers et 755 sous officiers et soldats répartis en 6 compagnies et un Etat Major.

Chaque compagnie sert un certain nombre de fourgons, prolonges, caissons et forges.
Elles sont réparties en campagne au sein des différentes division de la Garde ou au Parc de la Garde.
A noter que le bataillon est commandé par un capitaine et les compagnies par des lieutenants


En 1811, la 1ere compagnie sert essentiellement au transport de la comptabilité et des uniformes des régiments de la Garde et la 2eme conduit et accompagne les Ambulances du service de Santé de la Garde.
Les 4 autres: divers matériels, vivres etc...


Pratiquement entièrement recréé après la campagne de Russie, le nombre des compagnies est porté à 12 en 1813 ( en parallèle avec l' augmentation des effectifs de la Garde), avec aussi un accroissement des caissons et fourgons d' ambulances, répartis dans chaque compagnie. A nouveau recréé en 1815 à 4 compagnies.


L'uniforme est alors bleu céleste distingué de bleu foncé.


Uniformes des équipages du train sous la troisième République


Les officiers portent à partir de 1872 le dolman du type de l'artillerie, à col garance avec le numéro de l'escadron. Une tresse de soie noire souligne le parement (à la différence des officiers d'artillerie). Les galons sont en forme de fer de lance avec noeud hongrois. Un schako équipe les officiers jusqu'en 1883, date à laquelle il est remplacé par un képi.


Caserne du 8ème escadron du train à Dijon

mardi 6 janvier 2009

La Caserne Dupleix

La place Dupleix a une histoire : Le bâtiment que les plans des XVIIe et XVIIIe siècles appellent "château de Grenelle" se situerait aujourd'hui entre la place Dupleix et la rue Desaix. Cet ensemble fut acheté par l'Etat en 1751 pour servir de revenus à l'Ecole Militaire, et le château servit pendant plus de dix ans de bureau d'études à l'architecte Jacques-Ange Gabriel.

La Convention y installa une poudrerie qui, bien qu'une explosion en août 1794 ait entraîné d'importants dégâts, ne fut desaffectée qu'en 1820, date à laquelle on y installa le gymnase militaire du colonel Amoros.

Après la fermeture du gymnase, en 1838, c'est de 1852 à 1856 que la caserne est construite pour recevoir 1300 hommes.

Durant le second Empire le quartier abrite différentes unités de cavalerie de ligne. Pendant toute la troisième République il sert encore de casernement à plusieurs régiments dont les deux principaux sont les 1er de cuirassiers qui, succédant à des unités de dragons, restera jusqu'en août 1914 et le 11e régiment de cuirassiers qui restera jusqu'à la mobilisation de 1939.

De 1942 à 1944 le quartier fait office de Centre d'instruction à l'usage des pompiers de Paris.

En 1945, Dupleix devient un quartier de l'Arme du Train d'abord le 19e escadron (qui était avant-guerre à la caserne Fontenoy), puis le 1er régiment du Train, désigné "corps de tradition de l'Arme du Train" et à ce titre gardien de l'Etendard du Train.

Le quartier est vendu en 1988 (pure opération immobilière), le régiment fait ses adieux au XVème arrondissement le 5 décembre 1989 et la Ville de Paris y fit édifier la ZAC Dupleix
Il subsiste de l'ancienne caserne les deux bâtiments et la grille de l'entrée principale.

La fête de l'arme - Les tringlots célèbrent l'Empereur.

A l'instar des autres armes qui fêtent un Saint Patron, l'arme du train était placée sous la protection de Saint-Christophe, protecteur des voyageurs.

C'est en 1973, que le chef d'état-major de l'armée de terre décide sur proposition du général inspecteur du Train que la fête du train serait célébrée le 26 mars, date anniversaire de sa création. Ainsi depuis 1974, chaque année, des délégations des états-majors, formations et amicales se réunissent à Tours le 26 mars à l'occasion de la journée de l'arme du train pour commémorer la naissance " impériale " du train.

Calot de police de tradition


Couleur dominante bleu foncé pour le calot et le bandeau.
Le fond est de couleur vert foncé et l'ensemble est rehaussé par un liseré de couleur vert foncé.

Son port est strictement réservé aux activités de cohésion hors service.

Plastron de parade

Le plastron de parade a été créé en 1974.
Il est blanc aux couleurs de l'Aiglon.

Boutons





Bouton des équipages du train militaire du Second Empire!

Diamètre: 17mm

Inscriptions dessus : "équipages militaires train".




Les boutons actuels sont :

Argent à coquille pour la tenue de sortie, à roue dentée ailée pour la tenue de réception.

Fourreaux d'épaule

Drap de fond bleu foncé, roue dentée ailée argent, deux soutaches, galons argent.

Insignes de collet métalliques

Fond vert foncé, roue dentée ailée argent.

Les couleurs vert et blanc ne relèvent pas d'une tradition très ancienne. Elles passèrent du brassard vert et blanc des circulateurs en 1916 au rang de couleurs distinctives du train.

Train para et Régiment de Livraison par Air (ancêtre du 1er RTP de Toulouse)

Losange de manche

Drap de fond vert foncé, 2 soutaches garance, attribut grenade argent.
Avec numéro du régiment
Troupes d'Afrique

Képi

Bandeau bleu foncé, grenade à 9 flammes en argent, turban et calot " garance ".
Le choix de ces teintes rappelle les couleurs du tringlot en 1914 : dolman bleu foncé, pantalon garance.

L'étendard de l'arme du Train

Le Train reste l'Arme pour laquelle un étendard unique existe pour tous les corps. Pourquoi un étendard et non un drapeau ? Tout simplement sa taille plus petite était mieux adaptée aux activités de certaines unités, comme la Cavalerie.


Couleurs et formes
1811: Aigle en cuivre doré.
Cravate: bleu, blanc, rouge en bandes verticales.
Tablier et hampe : Couleur et forme non connues.

1815: Aigle en cuivre doré.
Hampe bleue, tablier bleu blanc rouge.
Broderie et frange d'or. Cravate tricolore.

1848: L'aigle est remplacée par un fer de lance en cuivre doré.

1880: Fer de lance en bronze doré.

Historique :
Le 26 mars 1807, au quartier général d'Osterode en Prusse Orientale, Napoléon, Empereur des français, signait le décret portant création des premiers bataillons des Equipages des Transports Militaires, acte fondateur de l'arme du Train.De 1807 à 1814, 24 bataillons sont mis sur pied et prennent part à toutes les campagnes de l'Empire, de l'Espagne à la Russie, y subissant de lourdes pertes.
Le 25 décembre 1811, l'Empereur accorde au Train des Equipages Militaires son premier étendard.
Il sera présenté le 16 mai 1812 à Mayence aux 17 bataillons qui allaient participer à la campagne de Russie.Sur ses plis, aujourd'hui onze inscriptions :
  • Espagne 1808
  • Russie 1812
  • Algérie 1830 - 1871
  • Crimée 1854 - 1855
  • Extrême-Orient 1884 - 1885
  • Madagascar 1895
  • Maroc 1908 - 1914
  • Grande Guerre 1914 - 1918
  • Guerre 1939 - 1945
  • Indochine 1945 - 1954
  • A.F.N. 1952 - 1962
Décoré de la Légion d'Honneur et de la Croix de Guerre des Théâtres d'Opérations Extérieurs, l'emblème du Train restera unique dans l'arme jusqu'au 03 août 1979 où le ministre de la défense décide que chacun des régiments du train recevra un étendard et prendra ainsi en garde une partie de l'héritage de gloire de l'arme.

Déposé le 02 juillet 2002 à la garde de l'Ecole d'Application du Train et depuis aux Ecoles de la Logistique et du Train, gardiennes des traditions de l'arme, il demeure l'honneur de l'arme et le symbole de son passé glorieux.

Présentation de l'arme du Train

Historique de l'Arme du Train

Le mot logistique apparaît en France au XVIIe siècle, où il désigne généralement la science du raisonnement et du calcul. L’apport et l’importance de la logistique ont beaucoup varié au gré des temps, mais c’est à partir de l’époque napoléonienne que celle-ci se signale par un retour en force. Jusqu’alors, les unités intervenaient un peu partout hors de France et les transports de ravitaillement étaient confiés à des compagnies civiles. Quant aux livraisons, elles n’étaient pas effectuées sur les lieux mêmes des combats et une grande partie des ressources disparaissait avant même d’arriver à destination. Napoléon prend donc la décision de militariser la logistique. En 1800, il crée le train d’artillerie et les inspecteurs aux revues (qui, plus tard, en 1817, c’est-à-dire sous Louis XVIII, deviendront des intendants militaires).

Le 26 mars 1807, l’empereur Napoléon 1er décide de militariser le service des transports pour offrir à son armée des ravitaillements fiables. Ainsi est née l’arme du train. Depuis 200 ans, présente sur tous les fronts, partout dans le monde, elle n’a cessé de s’adapter pour remplir cette mission.



1807 – 1914 :
Sous le 1er Empire le train participe à toutes les campagnes napoléoniennes. Alors hippomobile, il est chargé de l’approvisionnement des troupes en campagne et du transport des blessés. En 1808 en Espagne, les tringlots doivent soutenir une armée de 100 000 hommes. Le mulet se révèle alors être le meilleur moyen de traverser un relief particulièrement accidenté. Les premières compagnies muletières du train sont créées. Elles seront également à l’honneur en Algérie à partir de 1830. Le maréchal Bugeaud écrira : "c’est le fantassin et le tringlot avec ses mulets qui ont conquis l’Algérie". Au début du XXème siècle, au Maroc, le train devient chamelier pour assurer les ravitaillements à travers le désert entre les postes et les bases d’opérations.


1914 – 1939 :
Au cours de la Grande Guerre, le train des équipages s’illustre avec le service automobile. Ce nouveau mode de transport fait très vite émerger la nécessité d’une régulation.

En février 1916, la première commission régulatrice automobile, prélude de la circulation routière, est créée pour assurer le contrôle de la circulation sur la route départementale reliant Bar-Le-Duc à Verdun (Voie Sacrée). Le train hippomobile subsiste et continue à porter les ravitaillements au plus près du front. Le général Ludendorff écrira dans ses mémoires : "la victoire française de 1918 est la victoire du camion français sur le rail allemand".

1939 – 1945 :
En 1939, à la mobilisation, le train représente 300 000 hommes, 100 000 véhicules automobiles et 27 000 véhicules hippomobiles. Il s’illustrera lors des combats de Gennes-Saumur (juin 1940), dans la résistance et sur les routes de la libération dans les forces françaises libres. En 1945, le train obtient son indépendance avec la création d’une direction d’arme, le maintien de son inspection et la création de l’école d’application du train à Tours.

Insigne de béret

Roue dentée ailée, argent

L’ insigne représente un vol d’ argent (Ailes) encadrant une roue dentée de part et d’ autre du moyeu .
La roue dentée est le symbole de la motorisation, les ailes trouvent leur origine dans la mythologie antique : Fortune était représentée sur ce vecteur portant une corne d'abondance. La fonction transport et distribution de la manne céleste est contenue dans cette figure.
Le 28 mai 1931, la roue ailée crénelée à 8 puis à 12 dents (1945) est devenue l’ attribut officiel du train par décision ministérielle. Elle est porté, depuis depuis ce jour, sur le plateau de ceinturon de la grande tenue et à l'avers des fanions de tradition en tant qu'attribut d'arme.

La couleur argent est la particularité des troupes montées dont est issu le TRAIN.

Certains régiments ont la particularités d'avoir un insigne de béret particulier.

601e Régiment de Circluation Routière

La ceinture de laine ou taillole

Certains disent qu’elle servait à "tenir le pantalon". En réalité, elle était destinée à soutenir et soulager les lombaires lors des rudes travaux des champs effectués à la main. Par la suite, lors des manifestations folkloriques, leur couleur symbolisait le corps de métier auquel on appartenait.

Elle est encore portée par les hommes de Provence et de Catalogne (la faixa).

La ceinture de laine pour les troupes d'Afrique était à l'origine et jusqu'en 1862 un accessoire vestimentaire de couleur variable, destiné à préserver des affections intestinales, en évitant les refroidissements.

Elle se portait alors sous les vêtements. Peu à peu, elle prend place sur la veste ou sur la capote, par coquetterie.

Tout d’abord en flanelle, elle devient de laine et de couleur pour les armes et services suivants à partir de 1920 :
  • BLEU ( Zouaves, Légion Etrangère, Génie, Intendance, Service de santé)
  • ECARLATE (Tirailleurs, Artillerie et chasseurs d’afrique)
  • KAKI (Troupe de forteresse)
Il faudra attendre une décision du 3 juillet 1936 pour que le Train d’Afrique du Nord se voit attribuer la ceinture écarlate.

Longue de 4,20 m et large de 40 cm, elle nécessite l'aide d'un camarade pour être mise correctement.


Celle du train est écarlate :

511ème RT

Epaulette de tradition

Les épaulettes sont portées seulement sur la tenue de parade (tenue 31 - tenue de prise d'arme à partir de la tenue de combat).

L'épaulette trouve son origine des les premières armures, dans l'antiquité. Il s'agit d'une protection contre les coups d'épée, protégeant les épaules, à l'origine elles étaient faites en paille avec le bout tressé d'où les beaux trèfles blanc (maison du roi) sur les épaules des " gens d' armes " qui deviennent de "sergents d'armes " sous Saint Louis.


Les épaulettes de tradition sont composées de 3 éléments :
  • le corps- la corde / tournante
  • les franges
  • La tournante (ou corde), c'est la pièce à laquelle sont rattachées les franges.
Pour les officiers, sous-officiers et les caporaux-chef elles sont guipées (brodées) en métal de la couleur des boutons.

En principe, selon l'arme et la subdivision d'arme, chacun des éléments a une couleur caractéristique.

On connaît les épaulettes :
  • de l'infanterie : corps rouge / tournante rouge / franges rouges
  • des chasseurs à pied : corps vert / tournante jonquille / franges vertes
  • de la Légion : corps vert / tournante rouge / franges rouges

  • de l'infanterie de marine : corps jonquille / tournante jonquille / franges jonquilles
  • Actuellement aucun régiment du train ne semble porté d'épaulettes de tradition.

La tenue de tradition

Sous officier des équipages de la garde de Napoléon (1er empire)

Bicentenaire du train à Ajaccio et à Paris en 2007